lundi 23 novembre 2009

Ces bonnes intentions qui pavent la route de l’Enfer


La multiplication des camps d’accueils pour immigrés illégaux en France, et plus particulièrement en Flandre, crée les conditions d’une véritable catastrophe humanitaire.
Pour mieux comprendre ces mécanismes, plaçons nous un instant du côté des candidats au voyage, et occultons volontairement tous les problèmes causés aux populations locales par ces flux migratoires et ceux causés aux pays d’origine par la fuite des bras et des cerveaux.

L’illusion d’un Eldorado.

La promesse illusoire d’une vie meilleure, dans de meilleures conditions, entraîne chaque année sur les routes de l’Europe des centaines de milliers de personnes qui fuient la pauvreté ou la guerre. Ils dépensent souvent des sommes astronomiques pour suivre une filière d’immigration illégale, convaincus que le vieux continent va leur offrir une vie facile et plus sûre. Cette illusion est entretenu par les passeurs qui profitent de la situation et vendent, non pas un billet vers un avenir plus serein, mais du rêve qui ne tarde pas à tourner au cauchemar.

Les autoroutes de la mort.

Par générosité, mais aussi par naïveté et irresponsabilité, nombre d’âmes charitables font le jeu des passeurs. Elles créent des camps à travers toutes l’Europe où elles soulagent un peu les immigrés en leur offrant le gîte et le repas. Sans le vouloir et sans peut-être le savoir, elles apportent de l’eau au moulin des passeurs qui expliquent à leurs victimes que le voyage est sûr puisqu’il y a tout le long du chemin des relais où manger et se reposer. Ils rompent ainsi les dernières réticences de beaucoup, et les entraînent au mieux vers une vie de misère, au pire vers la mort.

Les négriers du XXIème siècle.

La suite, nous la connaissons bien. Si ils survivent jusqu’en Europe, les immigrés illégaux passeront de longues semaines à errer sans but, puis finiront par tomber dans l’esclavage, voire la prostitution, pour rembourser les sommes colossales qu’ils doivent aux réseaux de passeurs. La transition de l’illusion de l’Eldorado à la triste réalité sera fatale aux plus faibles. Fin de l’histoire.

Irresponsables mais coupables !

Ni la naïveté ni l’irresponsabilité des particuliers et des associations impliquées dans ce trafic n’excusent quoi que ce soit. Ils ne maîtrisent pas l’exploitation qui est faite de leurs initiatives par des gens sans scrupule. Chaque camp d’accueil qui se monte chez nous participe à cette escroquerie planétaire, et ne fait que soulager un peu les blessures qu’il a lui-même provoqué.

vendredi 20 novembre 2009

New-York est restée calme

New-York, principale destination de la diaspora irlandaise et ville où l’on recense le plus d’habitants se revendiquant Irlandais (plus qu’à Belfast ou Dublin) n’a connu aucun débordement mercredi. Il n’y a pas eu une seule voiture brulée par un celte revanchard, pas un magasin pillé par un rouquin hystérique, pas un passant tabassé par un O’Sullivan ou un O’Toole.
Et pourtant, si il y a eu des supporters de football lésés mercredi, ce sont bien eux ! Leur courageuse équipe maîtrise le terrain, mais est vaincu par une basse tricherie. Tricherie largement légitimée ou minimisée au passage par l’élite sportive et politique Française. Par ceux qui nous enseignent que le sport est le miroir de la société. Par ceux qui transforment quelques habiles footballeurs (ou volleyeur pour l’occasion) en demi-dieux vivants.
D’ailleurs ces derniers le savent bien, et en profitent. A l’image d’un Lilian Thuram qui fait la tournée des écoles pour expliquer à nos enfants que les races n’existent pas. Mais bon, il est footballeur, pas biologiste.
Les Irlandais donc, puisqu’il s’agit d’eux, sont restés très calmes et corrects, tant en Irlande qu’à Paris ou New-York.
Comment expliquer alors le comportement de certains algériens ou franco-algériens dans notre pays en général et dans le Nord en particulier ? Lorsque l’équipe nationale d’Algérie perd, ils sont en colère et pillent nos rues ; lorsqu’elle gagne, ils sont heureux et pillent nos rues. D’aucuns avancent de soi-disant malaises sociaux, sentiments de rejet et j’en passe.
Je crois pour ma part qu’il existe une profonde incompatibilité entre les peuples Européens et certains peuples extra-européens. Alors il faut se rendre à l’évidence, rien ne sert de continuer à dépenser de folles sommes d’argent public pour intégrer de force une population qui ne le veut ni ne le peut.
Ah, au fait, je suggère à M.Hortefeux de présenter la facture de mercredi à la FAF (Fédération Algérienne de Football)

mercredi 18 novembre 2009

Déclarations racistes anti-blancs de Anne Lauvergeon...

Manifestation commune ce matin du MNR, du PDF et de la NDP devant le siège d’AREVA.

Plusieurs dizaines de militants des trois organisations de la Résistance (Mouvement national républicain, Parti de la France, Nouvelle Droite Populaire) se sont réunis mardi 17 novembre, à 8 h 00, devant le siège d’AREVA, à la Défense, à Paris, pour exiger la démission d’Anne Lauvergeon, présidente d’AREVA, pour ses propos racistes anti-blancs et sexistes, distribuant 2 500 tracts.

Dans une intervention, Anne Lauvergeon avait déclaré : « A compétences égales, eh bien désolée, on choisira la personne venant de… autre chose que le mâle blanc, pour être claire ». On notera au passage la brillante maîtrise de la langue française par l’ex collaboratrice de Mitterrand…

Annick Martin, Secrétaire générale du MNR, prit la parole en fustigeant l’inadmissible racisme anti-blancs et sexisme contenu dans ces propos, l’invitant à aller au bout de sa logique en démissionnant et en laissant son poste de présidente à une Africaine.

Robert Spieler, Délégué général de la NDP, exprima sa compassion pour les salariés et cadres blancs d’AREVA, conscients que leur évolution de carrière est bien compromise par les lubies de Mme Lauvergeon, et les invitant à déposer plainte auprès de la Halde pour racisme et harcèlement anti-blanc et sexiste.

PdF MNR NDP Tract Lauvergeon.pdf

Robin des Bois-Blancs

Après l’utilisation de machettes lors des émeutes de Paris samedi dernier, c’est une autre arme primitive qui refait son apparition dans le quartier des Bois-Blancs.

Vendredi dernier, les policiers sont appelés pour mettre fin à une violente rixe dans ce quartier « difficile » de Lille. Alors qu’ils ont beaucoup de mal à faire entendre raison aux protagonistes, ils aperçoivent, posté à une fenêtre, un jeune homme qui les prend pour cible avec un arc et une flèche déjà engagée. Les représentants de l’ordre se protègent par un tir de flashball qui touche l’agresseur à l’épaule et le désarme. L’interpellation de l’archer se déroulera alors sous une nuée de projectiles divers, et de nombreux renforts seront nécessaires pour ramener un semblant de calme dans le quartier.
Et à quand les sagaies dans nos villes ?

Dire que Brice Hortefeux déclarait hier encore, en parlant de l’affaire Toni Musulin il est vrai, qu’ «il n’y a pas de Robin des Bois dans notre pays »
Encore tout faux…

mardi 17 novembre 2009

Distribution publicitaire d’argent : qui est vraiment responsable ?

Depuis deux jours, la polémique fait rage.
Rappel des faits : samedi matin, à Paris, une société Internet avait annoncé une distribution gratuite d’argent pour promouvoir un de ses sites. Alors que 5000 à 7000 personnes s’étaient rassemblées sur le lieu du rendez-vous, la société a annulé la distribution sur demande de la préfecture. S’en est suivie une émeute comme notre pays en connait tant : explosion de violence gratuite, détroussages de passants, destructions de véhicules, de mobiliers urbains et de commerces.

Pour l’avocat de la société mise en cause, cette dernière avait fait son travail en déposant une demande en bonne et due forme à la préfecture, demande dans laquelle elle précisait le principe de l’opération ainsi que les moyens de sécurité engagés. Cette affaire était d’ailleurs parfaitement connue, et avait fait l’objet de plusieurs articles il y a quelques semaines.
De son côté, le ministre Brice Hortefeux a bien l’intention de présenter la facture des dégradations à la société organisatrice de la manifestation manquée et trouve indécent que ce soit le contribuable qui paie.

Comme si ça n’était pas le contribuable qui allait payer la facture des émeutes de Marseille samedi soir, et celles de Lyon ou Paris le même soir suite au match Egypte-Algérie ? Comme si ça n’était pas le contribuable qui fait les frais chaque année un peu plus de toutes les dégradations commises sur notre territoire ?

Si il faut chercher des responsabilités, et sans aborder le sujet de la morale sous-jacente à cette opération publicitaire, ce n’est pas du côté de la préfecture ou des organisateurs qu’il faut se tourner, mais plutôt du côté des bandes ethniques qui terrorisent nos quartiers et nos villes depuis des années. Et au-delà même, du côté des vrais responsables que sont les hommes et femmes politiques de droite comme de gauche (et dont le sieur Hortefeux fait parti) qui ont encouragé l’installation sur notre sol d’une population visiblement inassimilable.

Je vous rassure, M. Hortefeux, non seulement le contribuable ne souhaite pas payer cette fois-ci, mais un jour viendra où il ne voudra plus payer du tout vos folles politiques immigrationnistes !

Photo du site http://www.fdesouche.com/

lundi 16 novembre 2009

Les négriers modernes

Un nouveau centre d’immigrés illégaux va ouvrir ses portes à Bailleul. C’est sur un terrain municipal de 1500 m2, allée Pierre de Coubertin, à proximité du complexe sportif Charles-Lesage, que va s’installer avant le mois de décembre un camp « sanitaire » géré par l’association Flandre Terre Solidaire.

Les acteurs (de la mauvaise farce)

Le maire de Bailleul : Michel Gilloen. Parti socialiste, président de la Communauté de Communes Monts de Flandre - Plaine de la Lys, président du Pays Cœur de Flandre. Il met à disposition des associations immigrationniste le terrain municipal.

Flandre Terre Solidaire : Jeune association créée le 9 septembre 2009, elle a pour objet l’aide à caractère humanitaire ou social, information et sensibilisation sur le sujet des migrations internationales auprès de l’opinion publique. Siège social : 24, rue Edmond de Coussemacker, 59270 Bailleul. Sa présidente est Claire Cleenewerck. L’association revendique 50 membres et a déjà fait parler d’elle en signant la pétition contre le charter d’Afghans. Elle gérera le centre.

SALAM (Soutenons Aidons Luttons Agissons pour les Migrants): créée en 2003, elle s’est donnée pour objet de réunir les informations sur la situation juridique des migrants ; accompagner les migrants dans leur démarche de demande d’asile ; obtenir le respect des droits fondamentaux des migrants ; informer et sensibiliser l’opinion publique sur la situation des migrants et la situation des pays en difficulté ; combattre toutes les formes de racisme et de discrimination ; apporter une aide humanitaire aux migrants. Siège social : la maison pour tous, 81, boulevard Jacquard, 62100 Calais. Son actuel vice-président, et ex-président, Jean-Claude Lenoir est un abonné des tribunaux. Condamné en 2005 à 8000 € d’amande et un mois de prison avec sursis, il vient d’être relaxé dans une affaire d’outrage à représentants de l’autorité publique, mais le parquet et les parties civiles ont fait appel. Il justifiait son action en faveur des immigrés illégaux il y a quelques mois dans "Le Monde", et avouait que les responsables politiques savaient très bien ce que les associations faisaient : « A gauche comme à droite, ils sont d'accord sur ce point : le plus important c'est que cela ne se voit pas. » Bel aveu...

Non seulement l’action de tous ces gens est illégale, mais elle est illégitime. Le soutien à l’immigration illégale entraîne de vastes migrations qui se terminent presque toujours par la misère pour les candidats à une meilleure vie et par la déstabilisation des régions indûment occupées.

La Nouvelle Droite Populaire de Flandre Artois Hainaut s’inquiète de l’inconscience des (ir)responsables politiques et associations précités, de la préférence systématique donnée aux étrangers alors même que la Flandre n’est pas épargnée par les difficultés économiques et financières actuelles et appelle les habitants de Bailleul et des environs à fermement protester contre cette nouvelle initiative contraire au Droit, à la morale et au simple bon sens.

vendredi 13 novembre 2009

Les sondages, c’est comme les élections

Pour le site Le Post, les sondages c’est comme les élections : il faut les recommencer jusqu’à obtention du résultat attendu.

Le site Le Post se fait l’écho aujourd’hui à 17h20 d’un sondage BVA qui indiquerait que 57% des français seraient favorable à l’adoption par des couples homosexuels (j’emploie le conditionnel car il n’existe pas encore dans la langue française de temps qui me permette d’exprimer toute l’étendue de mes réserves pour les sondages)

Le site propose alors à ses visiteurs d’exprimer leur opinion. En à peine 23 minutes, plus de 900 participants arrivent au résultat suivant :


Horreur ! Malheur ! Vite, vite, le site d’information (mais a priori pas d’opinion) remet les compteurs à zéro, ce qui a pour effet de donner des résultats beaucoup plus politiquement corrects et surtout d’empêcher les premiers internautes de s’exprimer à nouveau.


Que vaudraient les sondages sans les manipulations ?

PS : A voir quand même sur le site le concours de photos truquées lancé pour se moquer des fausses affirmations de Sarkozy sur sa présence à Berlin le 9 novembre 1989. Les internautes s’en sont donné à cœur-joie avec, entre autres, Nicolas Sarkozy libère Paris, Nicolas Sarkozy va sur la lune ou encore Nicolas Sarkozy et le 11 septembre. A voir ici

Marcher dispersés, combattre rassemblés !

C’est une vieille maxime militaire, appliquée avec succès depuis la nuit des temps, de Sun Tsu à Napoléon, en passant par Alexandre, Gengis Khan, Machiavel ou Clausewitz. Elle signifie que pour être efficace, c’est avec l’ensemble des forces qu’il faut frapper l’ennemi.


Ce vocabulaire guerrier pourrait surprendre, voire choquer certains, mais c’est bien à un âpre combat que se sont préparés les nombreux participants de la 3ème journée de Synthèse Nationale mercredi. Sous la houlette de Roland Hélie, un grand nombre d’orateurs, écrivains, journalistes et responsables associatifs Français et Européens ont apporté la matière intellectuelle nécessaire pour répondre à l’impératif du jour : Rassembler et Résister.


C’est aux représentants politiques du Parti de la France, du MNR et de la Nouvelle Droite Populaire que revenait la responsabilité de conclure les travaux de la journée, avec les remarquables interventions de Pierre Vial, Annick Martin, Carl Lang et Robert Spieler.


Lire les comptes-rendus sur le site de Synthèse Nationale

APPEL POUR PRÉSERVER UNE GÉNÉALOGIE LIBRE BASÉE SUR L'ENTRAIDE ET LE PARTAGE

Une fois n’est pas coutume, le sujet suivant n’est pas politique. Ou du moins, pas à première vue.

Les faits (http://appelgenealogielibre.free.fr) :

L'histoire de l'humanité nous montre que l'Homme a besoin de connaître son passé pour construire son avenir. Grâce à ses archives qui figurent parmi les plus riches du monde, les mieux organisées et les plus accessibles, la France donne à chacun et chacune, depuis plusieurs siècles, un accès aisé et gratuit aux documents historiques. Ceux-ci permettent de répondre aux attentes des citoyens de notre pays pour leurs recherches personnelles, qu'ils soient simples curieux, enseignants, historiens, écrivains ou généalogistes. Étudier l'histoire des sociétés contribue à placer l'Homme dans la Cité par la maîtrise de son environnement.
Depuis quelques années, le rapprochement des Français avec leurs archives s'est considérablement développé grâce à la technologie. Plusieurs méthodes ont été employées, que ce soit le microfilmage de l'état civil et des registres paroissiaux grâce à la collaboration avec l'Église de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours (mormons) depuis une quarantaine d'années ou bien la numérisation de l'état civil et des recensements de près d'une soixantaine de départements avec l'aide de société privées, telles le cabinet de généalogie successorale Coutot-Roehrig. Ces procédés de reproduction des documents d'archives ont une vocation citoyenne puisqu'ils sont des facilitateurs d'accès et contribuent ainsi à la construction de l'identité de chaque individu et la sauvegarde des fonds d'archives.
Les différents contrats passés entre les collectivités territoriales et leurs prestataires ont historiquement prévu une copie des travaux de reproduction à l'entité publique détentrice, librement consultable par les chercheurs. C'est ainsi que les microfilms des mormons ont permis à des centaines de milliers de généalogistes de travailler à distance sur leur famille, par la communication des bobines entre dépôts d'Archives départementales ; et les numérisations ont montré les richesses des Archives de France à l'ensemble des chercheurs de la planète via l'Internet. Nous devons, tous ensemble, continuer à démultiplier les possibilités de diffusion multicanaux des données publiques culturelles, librement et gratuitement.
Aujourd'hui, pour certaines sociétés commerciales, la généalogie et tout particulièrement l'accès aux documents d'archives est génératrice de produits financiers importants. À leurs antipodes, des milliers de structures bénévoles, associatives, structurées ou non, réunissent, depuis des décennies, les généalogistes et les historiens qui privilégient le loisir, les échanges et l'entraide plutôt que la génération de chiffre d'affaires.
De récents titres dans la presse nationale nous alertaient sur le risque de voir l'argent prendre le pas sur le plaisir : « des pans entiers de notre état civil vont passer aux mains du privé » (Le Figaro du 22/11/2008). Ces menaces se confirment maintenant par le rapport de la commission Ory-Lavollée préconisant que la réutilisation des données d'archives publiques fasse l'objet de licences payantes. Elles interdiraient de facto la poursuite des projets d'entraide et de partage des archives en octroyant un rôle d'intermédiaire à des sociétés privées, françaises ou étrangères. Se trouvant ainsi en position monopolistique, ces acteurs commerciaux auront clairement pour objectif de rentabiliser leurs investissements en faisant payer ceux qui souhaiteront accéder à l'information.

Soutenez la généalogie Libre !

Ne s’agirait-il pas en fait d’une nouvelle attaque contre l’identité de notre peuple, pourtant sujet à la mode, en monétisant les archives des français de souche (seuls concernés, par la force des choses) et en privatisant sauvagement la mémoire collective d’une nation ?
Ou comment, une nouvelle fois, on veut convertir l’homme libre en consommateur servile.

mardi 10 novembre 2009

Le grand bluff

Nadia Lamarkbi, journaliste au « courrier de l’atlas » (qui se définit lui-même comme le magazine de la communauté maghrébine de France) organisera le 1er mars prochain la journée sans immigrés : 24 heures sans nous.
Le but de cette action, qui fait suite aux propos de M. Brice Hortefeux cet été, est de démontrer aux Français la richesse de l’immigration en demandant aux immigrés et fils d’immigrés de ne pas travailler ni consommer ce jour là. Elle invite qui plus est les « citoyens conscients de l’apport de l’immigration » à rejoindre le mouvement.
Propagande
La promotion de la journée sans immigrés se fait principalement par médias électroniques (site Yabiladi de Mohamed Ezzouak, site et blog LJSI…), réseaux sociaux (groupes sur Facebook) et médias traditionnels (El Watan, principal journal francophone d’Algérie, Radio Soleil…)

Qu’en est-il de l’apport de l’immigration
Tout d’abord, et contrairement à ce que veut faire croire la journaliste, l’immigration aujourd’hui en Europe n’est plus une immigration de travail, mais une immigration de peuplement. De plus, le chômage qui touche plus les immigrés que les Français de souche, est en constante augmentation. Cela démontre bien l’inutilité d’une main d’œuvre venue de loin.
Ensuite, l’immigration coûte à la France entre 26 et 45 milliards d’euros par an selon les estimations, et encore sans comptabiliser les surcoûts liés à la délinquance.
Enfin, une partie de l’argent généré par le travail ou les aides sociales quitte le territoire en direction des pays d’origines. D’ailleurs une publicité sur trois du « courrier de l’atlas » porte sur les moyens d’envoyer des devises au pays.

Et si l’action est suivie ?
Alors cela confirmera que les 40 dernières années de politique immigrationniste ont été encore plus criminelles que prévue, et que désormais une partie non négligeable de la population, peu ou pas assimilée, a le pouvoir de paralyser notre économie et nos productions.
Mais notre peuple aurait les moyens d’y remédier, pourvu qu’il n’y ait pas trop de collabos qui faussent la portée de la mobilisation et qu’on lui en laisse le temps.

En conclusion
Si au moins les délinquants et criminels immigrés ou d’origines immigrées suivent le mot d’ordre et cessent toute activité 24 heures, les Français pourront souffler un peu. Mais pour en profiter vraiment, il faudrait prolonger le mouvement, disons, au moins 20 ans !

mardi 3 novembre 2009

Le miroir aux alouettes

Actualité oblige, il semble très difficile de se soustraire au pseudo débat initié par le gouvernement sur l’Identité Nationale. Sans rentrer dans les détails (pour l’instant), toute cette vaine agitation m’inspire tout de même quelques réflexions.

Identité Nationale et Culture Européenne

Un débat sur l’identité Nationale semble à priori incongru. En effet, l’identité d’une nation est un fait, un héritage, et un fait se prête assez mal au débat. Ce n’est pas à nous de décider de ce qu’est ou n’est pas l’identité nationale, tout au plus pouvons nous la constater. Mais acceptons quand même, pour avancer, l’idée du débat. Je crois que la vraie question est, dans un monde où émergent de puissants blocs économiques et politiques, de savoir comment préserver la culture Européenne et accessoirement son génie. Plutôt que de définir ce qu’est un Français, attachons-nous à mettre en avant ce qui nous rapproche des autres peuples Européens, les liens historiques, politiques et autres qui font que nous pourrons demain apporter une réponse cohérente aux défis et chausse-trapes de ce siècle.

Identité Nationale et Immigration

Là, le ton est immédiatement donné. On nous demande en effet de réfléchir aux « apports » de l’immigration. Non pas aux conséquences, qui pourraient être positives (non, je plaisante) ou négatives, mais aux « apports », donc forcément positifs. Le site de propagande mis en place pour soutenir l’initiative d’Eric Besson précise : « Notre Nation s’est constituée au fil des siècles par l’accueil et l’intégration de personnes d’origine étrangère. Ce grand débat doit permettre de valoriser l’apport de l’immigration à l’identité nationale, et de proposer des actions permettant de mieux faire partager les valeurs de l’identité nationale à chaque étape du parcours d’intégration. » Donc le fameux débat est déjà tronqué.

Identité Nationale et valeurs Républicaines

J’écoutais Benoît Hamon dimanche matin, interviewé sur Europe 1, expliquer que pour lui il n’y avait pas lieu de faire un débat, et que la gauche n’avait pas de complexe avec les valeurs de la République. Nouvelle problématique, car il semble que bon nombre d’hommes et de femmes politiques confondent la Nation avec la République. Comme si notre identité datait de 1789, et que l’on balaye plusieurs millénaires d’une chiquenaude. Les Celtes, les Grecs, les Romains ? Connait pas. 1500 ans de monarchie ? Pas très républicain tout ça. L'Identité Nationale se résume pour eux à la Marseillaise,à la devise de la République et au drapeau.

Identité Nationale et Race

« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. » Ainsi, quand le général De Gaulle définit ce qu’est un Français, il fait référence, dans l’ordre, à la race, à la culture et à la religion. Il faut dire à sa décharge que les lois Gayssot et consort n’existaient pas. Mais pourtant, comment pourra-t-on débattre de l’Identité Nationale dans un pays ou le simple terme race s’apparente à un gros mot, et la réalité à laquelle il renvoie à une hérésie ?

Ce débat n’est donc qu’un miroir aux alouettes, une entourloupe électoraliste dont le but est de redorer l’image peu reluisante d’un gouvernement désuni et d’un hyper-président hyper-impuissant.

lundi 2 novembre 2009

Justice et légitime défense

Le 29 octobre dernier, René Dahan est renvoyé devant la Cour d’Assise de Créteil pour homicide volontaire. Son crime ? Avoir défendu sa famille !
Le 27 octobre 2006, René Dahan est agressé à son domicile par trois hommes armés. Il est aussitôt plaqué au sol par l’un des hommes qui tente de l’étrangler alors que les deux autres voyous ceinturent et molestent son épouse. Luttant pour sa vie, René Dahan parvient à s’emparer de l’arme de son agresseur et ouvre le feu une première fois. L’agresseur se précipite alors dans la chambre des enfants de M. Dahan. Celui-ci l’y poursuit et fait de nouveau feu. L’agresseur est mortellement touché dans le dos. Et René Dahan est incarcéré.
A l’époque Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur et en précampagne présidentielle, s’émeut de cette arrestation et demande la remise en liberté de René Dahan.
Aujourd’hui Nicolas Sarkozy est président de la République, et c’est un honnête homme qui va affronter la justice française, seul.
Vous pouvez soutenir René Dahan, et à travers lui toutes les victimes poursuivies pour avoir défendu leur vie et leur famille, sur le site de l’Institut pour la Justice.
Si la justice est plutôt prompte à poursuivre et incarcérer les gens qui se défendent, son laxisme dans d’autres situations entraîne parfois la famille des victimes à se faire justice elle-même.
Ainsi fin août à Lille, un enfant est victime d’attouchements de la part d’un jeune homme. Celui-ci est rapidement identifié, appréhendé et …libéré. La maman du jeune garçon ne comprend pas cette libération et, folle de rage à l’idée du calvaire de son fils et aux risques courus par d’autres enfants, décide de se rendre chez le pédophile et de le passer à tabac. L’agresseur du petit garçon, choqué (sic), porte plainte et la maman sera poursuivie.
Résumé des faits dans la Voix du Nord.
On ne peut bien entendu pas se faire justice soi-même. Mais qui est le coupable dans ces affaires ? Le commerçant qui défend sa vie et ses proches ? La maman qui protège son fils ? Ou une institution judiciaire qui a démissionné ?
La justice française est malade de sa lenteur, de son laxisme, de ses partis pris et idéologies, de sa propre impunité (cf. Outreau), de son incapacité à faire appliquer ses propres décisions (86 000 peines de prison ferme ne sont pas purgées).
Comment lui faire encore confiance ?..