dimanche 17 novembre 2013
mercredi 13 novembre 2013
Où les racistes ne sont pas ceux que l’on croit
La Une de minute choque la France. Ou du moins, elle choque
les politiciens du système, tous rapaces confondus, du NPA au FN.
Mais que titre donc l’hebdomadaire Minute ? « Taubira :
Malin comme un singe » .
Il s’agit pourtant d’une expression française consacrée qui
met en avant le caractère débrouillard de cette espèce animale, et dont l’utilisation
ne pose habituellement aucune difficulté. Les locutions, et dans toutes les
langues, usent souvent de la comparaison rhétorique animale pour amplifier le
sens d’un adjectif ou d’un nom. On a souvent une faim de loup ou un caractère
de cochon. Il est à noter que les animaux mis à contribution peuvent varier
selon les langues. Ainsi, malin comme un singe deviendra « astuto como un
zorro » dans la langue de Cervantès qui préférera se référer à l’astuce du
renard plutôt qu’à celle du singe. Mais cela ne nous explique pas le caractère
raciste de la phrase, à moins que de considérer qu’il est interdit d’utiliser
des expressions contenant les mots singes ou banane lorsqu’il est fait
référence à une personne noire. Et que la même expression pour un blanc ne
poserait pas plus de problème que ça.
Tirons-en donc ensemble les conséquences. Ce gouvernement et
ses alliés, qui souhaitent effacer le mot « race » de la constitution,
comme ils l’ont déjà fait de nos codes sous le couvert que les dites races n’existeraient
pas, se base sur la race (qui n’existe pas) de la personne considérée pour
estimer ce qui est raciste ou ne l’est pas. De plus ils semblent penser qu’un
qualificatif simiesque devient nauséabond en présence de la négritude.
Qui est
raciste dans l’histoire ? Qui fait une différence de traitement selon la
couleur de la peau ?
Si j’ai bien compris la logique de la bien-pensance, un noir
qui protège une personnalité ne peut plus être un gorille, un noir qui règle
ses achats avec de faux billets ne paye pas en monnaie de singe ou s’il fait l’imbécile,
il ne fait pas le singe, sans parler de manger du singe...
Quand aux responsables du Front National, ils préfèrent courber
l’échine et hurler avec les loups.
vendredi 8 novembre 2013
vendredi 4 octobre 2013
LUNDI 11 NOVEMBRE 2013, RETENEZ CETTE DATE :
Pour les personnes souhaitant se rendre à la 7ème journée de Synthèse Nationale en région parisienne, merci de me contacter si vous proposez ou cherchez des places de voitures au départ du Nord ou du Pas de Calais.
vendredi 30 août 2013
Grande journée familiale et militante - Nieppe (59) - 28/09/13
mardi 27 août 2013
Où la présence à Paris le 14 septembre n'est pas une option !
Un bus au départ de Lille est prévu. Réservations sur
internet ou directement à la boutique Tribann aux heures normales d’ouverture.
Possibilité de restauration rapide.
La solidarité n’est pas une option. Venez nombreux !
lundi 10 juin 2013
Où l’Etat panique
Nous assistons depuis plus de
trois jours à une manipulation savamment orchestrée et digne des plus grands
enfumages de l’histoire. Du Carpentras, voire du Reichstag. Depuis jeudi, l’ensemble
des mouvements nationalistes est diffamé et insulté en permanence par la classe
médiatico-politique.
Assassins, meurtriers, peste,
etc. Les mots ne sont pas assez durs.
Mais que cherche-t-on au final ?
Pourquoi la retenue et la réserve, qui sont habituellement de mise lorsque l’on
ne dispose que d’informations incomplètes et fragmentaires, pourquoi la simple
prudence ne s’est-elle pas appliquée dans ce qu’il est convenu de nommer l’affaire
Méric ?
Parce que nous sommes sur la
bonne voie. Parce que nos idées trouvent un écho de plus en plus large chez une
grande partie de nos concitoyens, et que cela devient de plus en plus insupportable
à ceux qui estiment détenir seuls la vérité.
Parce que lorsque nous
condamnons la mondialisation, les grands remplacements de population, la
toute-puissance de la caste financière, loin d’affabuler, les faits, les
évènements, l’Histoire, valident notre vision du monde et nos solutions pour
sauvegarder nos peuples et notre civilisation.
Aussi l’Etat ne recule-t-il
devant rien pour nous faire taire et pour nous salir. Quitte à mentir un peu
plus, quitte à renier nos libertés fondamentales.
Sous l’accusation fantasque
que nous serions un danger pour la démocratie et la république, il voudrait
nous condamner tout en nous refusant le moindre traitement équitable.
Pour mémoire, la possibilité
de dissolution donnée à l’Etat ne s’applique que dans de strictes conditions.
Il faut que les groupes visés appellent à la haine ou à la violence, ou bien qu’ils
mettent en danger la république. Mais entendons nous bien, combattre l’immigration
et dénoncer toutes les catastrophes économiques et humaines qui en découlent ne
sont en rien des appels à la haine ou au racisme. C’est la libre expression d’une
analyse politique, dont en réalité seule la pertinence dérange.
Le pouvoir, les pouvoirs
devrais-je écrire, nous la jouent à l’envers. Ce n’est pas nous qui nous
mettons en marge de la république, ce sont ses représentants, ou du moins ceux
qui se pensent comme tels, qui nous poussent vers la sortie.
Mais que croient-ils ?
Que nous allons nous laisser faire, courber l’échine et rentrer dans le rang ?
Je ne parierais pas trop là-dessus.
L’exploitation de ce double drame,
un jeune homme qui perd la vie bêtement et un autre qui voit la sienne s’assombrir
durablement, n’est à l’honneur de personne. Ni de la gauche et de l’extrême-gauches
si promptes à crier au fascisme quand bien même celui-ci ne correspond plus à
quelque réalité politique que ce soit au XXIème siècle, ni la presse faisant
ses choux gras du malheur des autres et si rapide pour dégainer ses coupables
idéaux, ni même enfin les partis de l’opposition, qui n’ont rien compris aux enjeux
de demain et se contentent de botter en touche pour ne pas déplaire à la pensée
unique.
Ceux qui ne sont pas des
salauds sont des lâches.
On se croirait revenu au temps
des proscriptions, lorsque pendant la guerre civile, entre la fin de la
république et le début de l’Empire, à Rome, l’on affichait publiquement la
liste des noms des citoyens qui devaient être mis à mort sans procès dès qu’on
les croisait.
Non contents de violer nos
droits fondamentaux, ils poussent le vice jusqu’à estimer, par la bouche de
Najat Vallaud-Belkacem, que nous avons encore trop de visibilité et qu’il ne
faut plus du tout parler de nous. Je ne relèverai pas tout l’absurde de la
situation…
Pour terminer, je tiens à
remercier tous ceux d’entre vous qui m’ont témoigné leur sympathie suite à la
violente attaque de ma boutique jeudi dernier. Pour la petite histoire, les
antifas lillois ont prévu une nouvelle manifestation le mardi 11 juin en
centre-ville. Compte-tenu des graves débordements survenus tant à Lille, où
trois commerces ont été attaqués et au moins deux policiers blessés, qu’à Paris
ou à Nantes qui ont vu de nombreux actes de violence, cette manifestation
devrait être interdite par le Préfet pour risque de troubles à l’ordre public.
Mais je ne me fais aucune illusion. Ceci dit, si quelque incident devait se
produire contre la boutique Tribann, je n’hésiterai pas à faire valoir mes droits
de citoyen et mettrait en cause la responsabilité de l’Etat pour son
aveuglement complice.
Je ne sais pas si ces proscriptions modernes
marqueront, comme il y a 2000 ans, le passage de la république à l’Empire, mais
je sais que notre priorité à tous aujourd’hui est de dépasser nos querelles de Gaulois,
et ensemble, soutenir le grand perdant de cette manipulation : Esteban.
vendredi 7 juin 2013
Communiqué de Presse - Tribann SAS
Une trentaine d'individus
encagoulés, munis de barres de fer, se sont détachés de la manifestation
organisée en souvenir du décès d'un militant présenté comme appartenant au
réseau "antifa", pour saccager, jeudi dernier, les locaux de la
société TRIBANN.
Ce n'est qu'en raison de la
présence de deux policiers, blessés lors de cette attaque, que les locaux n'ont
pas été incendiés mais, seulement, dégradés et que la tentative de vol a été
stoppée.
Ce nouvel épisode de violence
est le fruit de la montée de l'intolérance cultivée par ces groupuscules qui
œuvrent dans une totale impunité, notamment au moyen de subventions, appelant
sur leurs sites à "chasser les nationalistes".
Ces comportements sont
inacceptables et visent à instaurer un climat de terreur.
De tels agissements doivent
entraîner de sévères sanctions pénales et l'utilisation de la mort tragique
d'un jeune homme, dans des circonstances qui restent à déterminer, ne peut
justifier un tel déchainement de violence.
A leur agressivité et à leur
ignorance dangereuse, la société TRIBANN oppose le sang-froid et la dignité.
La société TRIBANN regrette
qu'une classe politique joue les apprentis sorciers en laissant se perpétrer de
tels actes qui pourraient aboutir à de nouveaux drames.
Luc Pécharman
Tribann SAS
mardi 28 mai 2013
Où le mépris n’a plus de limite
De toutes les attitudes
possibles face à la contestation populaire, l’exécutif a choisi la pire :
le mépris.
Qu’il nous suffise de regarder
ces derniers jours pour nous en rendre compte.
Dimanche d’abord avec l’annonce
du chiffre de la Préfecture de Police de Paris concernant la participation à la
manifestation monstre contre le mariage gay, tellement minoré qu’une simple
recherche de photos sur internet dément cette estimation. C’est tellement irréel,
en tel décalage avec la véritable mobilisation, que l’on ne peut pas douter que
le but recherché n’est pas la désinformation. Si c’était une simple manœuvre de
travestissement de la réalité, le pouvoir aurait donné un chiffre moins conséquent
que le nombre de manifestant, certes, mais pas aussi ridiculement bas que
personne ne peut y croire.
Non, le seul but de cette
annonce est le mépris. C’est un crachat à la gueule des Français, c’est une
façon de leur dire qu’ils ne représentent tellement rien au yeux des dirigeants
que ce n’est pas la peine de faire semblant de paraître crédible. C’est une
confirmation de ce que nous savions déjà : nous ne sommes plus que des
sous-citoyens sur notre propre sol, la preuve ultime étant qu’il faut sept d’entre
nous pour faire le chiffre un.
Lundi, le Président de la
République en remet une couche lors d’un déplacement à Paris, au cas où nous n’aurions
pas compris. Dans un même mouvement, il fait arrêter près d’une centaine de
contestataires venus lui demander des comptes, puis interdit l’usage du
français hors de cadres bien définis, et dévoile enfin le fond de sa pensée.
Passons sur le premier épisode, qui répond aux arrestations arbitraires de dimanche,
lorsque 96 personnes ont été interpellées préventivement, leur seul tord étant
d’être des militants nationaux reconnus.
Ensuite, François de nous
expliquer, sans rire, que l’on n’a pas le droit d’utiliser les termes de
résistance ni de dictature, le premier ne pouvant être employé que pour parler
de la lutte contre le nazisme, le second ne concernant que le régime hitlérien.
Car non, jamais aucun peuple n’a résisté à quoi que ce soit ni à qui que ce
soit en dehors d’une période allant de 1933 à 1945. De là à ce que cette
affirmation débile, absurde, ne donne lieu à une nouvelle loi mémorielle… J’imagine
déjà les nouveaux manuels d’histoire :
"Pourquoi ne peut-on pas dire que
Vercingétorix a résisté aux Romains ? Parce que Jules César n’était pas
nazi.
Comment doit-on qualifier la bataille de Poitier ? D’acte profondément
xénophobe de Charles Martel, car Abd al-Rahmân n’avait pas juré fidélité au führer."
Puis, François Hollande, non
content de seulement réinterpréter quelques mots de la langue Française, de lâcher :
«Les mots ont toujours un sens. Il faut leur donner leur signification. La
Résistance, c'était par rapport au nazisme, à l'Occupation. La collaboration,
c'était des Français qui étaient avec l'occupant. Et le fascisme, le nazisme,
la dictature, c'était une époque qui heureusement est révolue. Donc nul n'a le
droit d'utiliser ces mots pour défendre des idées - si on peut appeler ça des
idées - d'aujourd'hui. »
"Si on peut appeler ça des
idées…" Pourquoi, tu as un autre nom à proposer ? (oui, au passage, et
devant tant de mépris, je n’arrive plus à vouvoyer ce triste personnage)
Car là est le fond réel de la
pensée de la caste dirigeante : Ils sont les seuls dépositaires des idées.
Eux seuls en ont. Les autres, ceux qui pensent différemment, le Pays Réel
aurait-on écrit à une époque, n’ont pas d’idée. C’est limpide et si rassurant :
"Ouf, ils n’ont pas d’idées !
Et ils ont quoi alors ?
On sait pas. De toute façon on
s’en fout, ce sont des salauds…"
Merci président.
Si lorsque nous parlons, nous n’exprimons pas des idées, si lorsque nous défilons, nous n’existons pas, alors, que nous reste-t-il ?
Une petite idée françois ?
Luc Pécharman
Serviteur de la Résistance
Européenne
vendredi 26 avril 2013
Contre la résistance patriotique et identitaire, le gazeur Valls à un nouveau complice : la flipette Bernard Gérard, maire UMP, et député de surcroit, de Marcq-en-Barœul !
Depuis deux mois, la revue Synthèse nationale avait décidé d’organiser dans l’agglomération lilloise une journée régionale à l’image de celles qui se déroulent depuis 7 ans à Paris. Ces journées sont l’occasion pour les différents mouvements de la Droite nationaliste et identitaire de se réunir pour débattre d’un thème précis. En l’occurrence, celle-ci était consacrée au combat national et aux élections locales à venir. Pour cela, Synthèse nationale avait retenu, pour dimanche prochain 28 avril, l’Espace St Joseph situé sur la commune de Marcq-en-Barœul. La réservation a été faite en bonne et due forme auprès des services municipaux sans que cela ne pose aucun problème. L’invité d’honneur de cette réunion étant Filip Dewinter, député d’Anvers et porte-parole du Vlaams belang.
Mais il se trouve que la ville de Marcq-en-Barœul est administrée par un personnage peu scrupuleux dont le courage ne semble pas être la qualité première. En effet, M. Bernard Gérard, puisque c’est son nom, a décidé, prétextant un fantasmé risque de trouble à l’ordre public (pauvre chochotte, il faudrait nous expliquer lequel ? A moins que quelques menaces téléphoniques anonymes, comme il prétend en avoir reçu, aient suffit pour lui faire peur ?), de retirer au dernier moment à Synthèse nationale la salle attribuée par ses services. Monsieur Gérard préfère, selon ses dires (cf. La Voix du Nord), prêter une salle au Parti communiste plutôt qu’à la résistance patriotique et identitaire. Bravo l’UMP, avec de tels comportements, on comprend mieux pourquoi la gauche est au pouvoir ! En ce conduisant ainsi, ce petit bonhomme nous montre son vrai visage : celui d’un poltron, comme il en pullule dans la pseudo droite, juste bon à collaborer avec les partis de gauche et cracher sur les patriotes. Pitoyable personnage que ce dénommé Bernard Gérard qui prétend qu’il ne connaissait pas Synthèse nationale. Il est vrai que ce n’est pas la culture politique de ce député-maire insipide qui a ébloui ses administrés jusqu'à présent… Avec une telle « droite », la gauche peut continuer tranquillement à détruire la France et à gazer ceux qui manifestent contre sa politique antifamiliale puisque dans le Nord c’est l’UMP Bernard Gérard qui, en bon supplétif du ministre de l’Intérieur qu’il voudrait être, muselle l’opposition patriotique. Ce que ce politicard aux petits pieds de M. Bernard Gérard n’a sans doute pas encore compris, c’est que la France est en train de se lever massivement contre les misérables comme lui. Il incarne à lui seul toute la lâcheté d’une classe politique déconsidérée qui, pour se maintenir aux affaires et protéger ses prébendes, est prête à se livrer toutes les forfaitures.
Evidemment, pour récompenser ce bon petit serviteur zélé de la pensée unique, la « justice » du Système, celle dans laquelle le Syndicat de la magistrature semble faire sa loi, a rejeté en début d’après-midi le pourvoi en « référé liberté » déposé par l’avocat de Synthèse nationale sans tenir compte de ses arguments. Il est vrai que nous ne faisions pas beaucoup d’illusions sur ce recours… tant nous connaissons le parti-pris de la « justice » de Madame Taubira. Et, comme si cela ne suffisait pas, les juges lillois condamne Synthèse nationale à verser 1 000 €, oui 1 000 €, à la mairie de Bernard Gérard. On Hallucine.
Cette nouvelle affaire prouve en tout cas, comme s’il en était encore besoin, la collusion entre l’UMP et le PS contre les forces patriotiques et pour servir les intérêts du mondialisme destructeur de nos identités.
Dans les jours qui viennent Synthèse nationale distribuera dans toute la 9e circonscription du Nord un tract présentant aux électeurs la vraie nature de Gérard, le député UMP qui préfère le parti stalinien à la Droite nationale et identitaire. Bernard Gérard, en voilà un que nous ne sommes pas prêt d’oublier… Tout sera désormais fait pour que ce triste sire dégage au plus vite de la scène politique…
Mais, malgré cette atteinte flagrante à la liberté d’expression et n’en déplaise à Gérard, Taubira et autre Valls, Synthèse nationale tiendra quand même sa journée régionale dimanche prochain 28 avril dans le Nord. Celle-ci se déroulera donc, de 11 h à 18 h, à La Ferme de l’Epinette, rue de l’Epinette à Nieppe (A 25, sortie n°9) en présence des intervenants prévus à Marcq-en-Baroeul.
Source : Synthèse Nationale
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