Pro-Köln, dirigé par Markus Beisicht, mène, avec ses cinq élus au conseil municipal de la ville, l’offensive contre la construction d’une méga-mosquée à proximité de la célèbre cathédrale. On se souvient que la précédente manifestation, organisée en septembre 2008, avait été attaquée violemment par une extrême-gauche encouragée par les appels à la haine d’une classe politique et une presse de gauche ou de droite totalement inféodées aux ennemis de notre identité. Pro-Köln n'entendait pas en rester là. Elle a organisé les 8, 9 et 10 mai une nouvelle manifestation rassemblant des responsables et des militants de nombreux mouvements identitaires européens. Récit de trois jours de mobilisation et de fraternité européenne :
Vendredi 8 mai : rencontre avec la presse, rencontres avec les habitants de Cologne...
Dès le début de l'après midi, le ton était donné et le succès était au rendez-vous : une première conférence de presse se déroula en présence de 40 journalistes. Markus Beisicht, Harald Vilimsky (secrétaire général du Fpöe autrichien), Hilde de Lobel (députée du Vlaams Belang) et Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, ont présenté les objectifs de cette manifestation. Nous sommes à l’étroit dans la salle de réunion d’un cabinet d’avocats. Aucun hôtel de Cologne n’avait accepté d’accueillir la conférence de presse ni d’héberger les invités européens. Les menaces des organisations de gauche les en ayant dissuadé…
Au même moment, trois réunions décentralisées se sont tenues sans incident dans différents quartiers de Cologne. Curieusement, la police semble cette fois ci décidée à protéger nos rassemblements...
Samedi 9 mai : c'est le grand jour...
Le rassemblement a lieu de bon matin dans la gare de Leverkusen près de Cologne. Il s'agit d'éviter au maximum les incidents et le contact avec les gauchistes. De nouvelles délégations, dont celle du Vlaams Belang, menée par Filip Dewinter, nous rejoignent. Nous rerouvons aussi les jeunes militants alsaciens de la NDP qui viennent d'arriver de Strasbourg.
Un train encadré par une police massivement présente nous conduit au lieu de la manifestation. L’extrême gauche est là, débraillée et hurlante. Nous nous retrouvons sur la Barmerplatz. Un hélicoptère de la police nous survole. Les caméras de la police filment.
Plusieurs centaines de personnes sont présentes dès 10 h 00, alors que la manifestation ne débute qu’à 11 h 00. Mais le piège policier se referme. Des centaines de partisans de Pro-Köln sont bloqués dans la gare et dans les rues alentour par une police qui leur interdit d’accéder au site. Des cars venus de Saxe et d’autres régions allemandes sont bloqués. Plusieurs véhicules avec des militants venus de plusieurs régions françaises sont empêchés de nous rejoindre. Une vingtaine de tchèques et quelques flamands arriveront cependant à forcer le barrage. L’extrême-gauche hurle ses slogans de haine, encouragée il est vrai, par l’affreux Schramma, maire CDU (de droite ??!) de Cologne, qui vient de déclarer : « Cologne n’est pas de droite (sic), Cologne n’est pas brune (sic), Cologne est ouverte et tolérante ». De plus, la police allemande (dont certains ont les cheveux longs et des piercings) ne reste pas inactive… Trois de nos militants alsaciens sont arrêtés pour avoir repoussé des perturbateurs que la police avait laissé pénétrer dans les rangs de notre manifestation. Ils seront relâchés six heures plus tard…
A 11 h 00 : la réunion commence. Markus Beisicht, Filip Dewinter, Josep Anglada, Adriana Bolchini, Annick Martin prennent la parole. Harald Vilimsky, secrétaire général du Fpöe, rencontre un franc succès quand il s’adresse à la police : « Je vous suggère, si vous êtes amenés à faire usage de vos canons à eau contre les gauchistes, d’y rajouter de l’eau de Cologne ». Robert Spieler, après avoir transmis aux participants le soutien et le salut amical de Carl Lang, déclare, faisant référence à Charles Martel, à Isabelle la Catholique et à ceux qui repoussèrent les Turcs à Vienne : « Nos Patries, notre Europe sont occupées. Nous avons le devoir de libérer nos peuples ". Il conclua par cette formule chère à la NDP et reprise avec enthousiasme par la foule : « Wir sind das Volk. Nous sommes le peuple ».
Nos amis allemands entonnent l’hymne national, avant le retour à Leverkusen.
Dimanche 10 mai :
Une énorme couverture de la manifestation par la presse. Des articles qui suintent la haine. La presse française, en comparaison de la presse allemande, est remarquable d’objectivité. C’est dire…
A 11 h 00, une dernière manifestation au cours de laquelle les orateurs européens prendront la parole est organisée à Bergheim. Aux cris de « Nazis raus » des extrémistes gauchistes et communistes, les partisans de Pro-Köln répliquent par « Stasi raus » ! Le système communiste de la RDA et son ex-police politique semblent en effet à bien des égards servir de modèle à une Allemagne qui démontre, jour après jour, qu’elle est sans doute le pays le moins démocratique d’Europe.
Au cours de la conférence de presse de vendredi : Robert Spieler apporte le soutien de la NDP à l'initiative de Pro Köln. A sa gauche, Harald Vilimsky, secrétaire général du FPoe autrichien, et Markus Beisicht, Président de Pro Köln.
Samedi après-midi devant une banderole de la NDP : Robert Spieler en compagnie de Josep Anglada, de Plataforma per Catalunya, et Alberto Torresano de la Phalange espagnole. La synthèse nationale et identitaire face à l'islamisation...
Au cours du rassemblement, Robert Spieler prend la parole. A droite : Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams belang, député d'Anvers et initiateur de la campagne "Les Villes Contre l'Islamisation"...
La police allemande bloque les accès au rassemblement. Ainsi, des centaines de militants nationaux et identitaires ne pourront pas rejoindre la manifestation de Pro Köln.
Malgrès tout, une foule nombreuse et attentive assista le 9 mai au rassemblement européen.
bravo!
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