mercredi 12 mai 2010

Les lignes ont bougées

De mois en mois, les informations sur la situation de notre continent et de nos peuples Européens démontrent une dégradation rapide et continue. Les attaques se multiplient, tentant de faire courber l’échine aux derniers résistants qui réfutent la nouvelle organisation mondiale et son cortège d’immigration, d’abrutissement intellectuel, de mensonges sociologiques et historiques, de paupérisation, etc.
Jusqu’à présent, il y avait trois catégories de femmes et d’hommes. Ceux qui savent et qui résistent, ceux qui savent et qui collaborent, ceux qui ne savent pas et ne font rien.
Mais les lignes ont bougées. Il est impossible aujourd’hui de ne pas comprendre le péril mortel dans lequel s’est engagée notre civilisation.
Il ne reste plus que deux groupes : ceux qui savent, continuent de s’informer et résistent encore et toujours, et ceux qui savent et soit collaborent sciemment à la destruction de notre identité, soit par leur inaction ou leur désintérêt assistent passivement nos ennemis.
Celui qui ne combat pas aujourd’hui par tous les moyens mis à sa disposition, celui qui se réfugie derrière des excuses de carrière professionnelle ou de bien-être familial, celui-là ne fait que retarder l’échéance et nuire par omission à l’ensemble de la communauté.
Il est plus que temps pour chaque Européen de choisir son camp.
Notre responsabilité actuelle est claire. En tous lieux, en toutes circonstances, en famille, entre amis ou au travail, nous devons interpeller nos concitoyens et les inciter à prendre parti. Nous avons encore les moyens de changer le cours de l’histoire, si chacun fait sa part de travail. Comment ? En militant activement dans les mouvements existants, selon ses sensibilités respectives, en diffusant autour de soi les informations sur les avancées de l’offensive adverse, en donnant 20 minutes, une heure ou une journée de son temps pour convaincre les frileux, les attentistes, les passéistes et les fatalistes.
Ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous.

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