lundi 1 mars 2010

Sur vos agendas en mars


Comment a-t-on pu en arriver là ? Cette question que les plus lucides de nos concitoyens se posent forcément devant la submersion migratoire qui étouffe la France, peut-elle vraiment trouver réponse ?
Le spectacle désolant de la tiers-mondialisation de nos villes et, déjà, de nos campagnes ne peut plus échapper à quiconque, et pourtant une stupéfiante passivité, un engourdissement mortel semble paralyser les Français.
De doctes personnages et leurs études nous expliquent le naturel et l’universalité dans le temps et l’espace des phénomènes migratoires qui devraient d’ailleurs, selon eux, s’intensifier encore avec les années.
Pourtant, l’auteur affirme qu’aucune fatalité ne présidait à cette immigration massive qui n’est, bien au contraire que la résultante dramatique d’une énorme tromperie appuyée sur une désinformation intense et multiforme mise au service de l’idéologie libérale du laissez-faire, laissez-passer.
Il a fallu mentir sur les faits et les chiffres quand ils n’étaient pas dissimulés, piéger les mots et, souvent, les employer à contresens, légiférer pour faire taire les Français de souche. Statistiques inexistantes ou truquées, arguments spécieux, périphrases, vocabulaire dévoyé, néologismes opportunistes et images judicieusement choisies ont été utilisés à temps et à contretemps afin de soumettre nos compatriotes à une pensée unique forgée dans les cénacles où l’on pense à la place du peuple et souvent contre lui.
Ceci dit, impossible de taire qu’il a fallu aussi beaucoup d’égoïsme, de passivité voire de lâcheté, d’individualisme forcené et de désintérêt des Français pour leur propre destin, pour en arriver là.
Il a fallu aussi calomnier inlassablement, à défaut de les réduire au silence, les rares compatriotes clairvoyants qui percevaient les drames qu’engendrerait inévitablement une immigration incontrôlée. Procédures, censure et calomnies furent et demeurent leur lot quotidien.
Quant au peuple de France, il n’a jamais eu à s’exprimer politiquement sur ce sujet capital pour son devenir et celui de ses enfants.


Frédéric Pichon est avocat au barreau de Paris. Il est aussi Président de l’Association EUROPAE GENTES qui se fixe pour objectif de créer un pôle alternatif et militant à l’Union Européenne actuelle qui se construit sur le sable mouvant du relativisme éthique, culturel et spirituel et du dogme libre-échangiste. Loin de cette Europe là qui a signé son arrêt de mort en renonçant à ses racines gréco-romaines et chrétiennes, l’objectif de cet ouvrage est de contribuer à l’émergence d’une élite aristocratique et populaire afin de redonner un sens et une espérance à la jeunesse d’Europe. Mais avant de pouvoir construire, il convient de retrouver les fondements authentiques de l’unité européenne. C’est le sens de la première partie de cet ouvrage qui s’interroge sur les racines de l’Europe.

Quant à l’avenir, c’est autour de quatre défis que sont l’identité, la puissance, la justice sociale et le respect des libertés et solidarités communautaires que cette nouvelle Europe doit se construire.

De tels axes de combat sont, à l’évidence, révolutionnaires. Si la philosophie de l’ouvrage est aux antipodes de celle de 1789 et qu’il en récuse à la fois la violence et le nihilisme, il va de soi qu’une telle alternative ne peut s’accommoder du réformisme d’un système intrinsèquement pervers dont les règles du jeu sont faussées. À l’image des insurgés irlandais de Pâques 1916, il convient de réhabiliter la valeur de l’exemple, du sacrifice et de l’honneur dans ce monde marqué par une anesthésie générale, replié sur sa tristesse et à la vertu de l’espérance…

Informations : Vlaams Huis



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