samedi 3 avril 2010

Le Japon, mauvais élève du Nouvel Ordre Mondial

Hier, Jorge A. Bustamante, rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits des migrants, a appelé le gouvernement Japonais à offrir une meilleure protection aux migrants et à leurs familles, qu’ils soient en situation régulière ou irrégulière.
Il reproche aux Nippons des discriminations régulières dans les domaines de l’emploi, de la santé, de l’éducation et du logement. Il condamne de la même façon le traitement réservé aux immigrés illégaux dont la détention peut parfois atteindre trois ans.
Mais le plus révélateur est qu’il déplore que « le Japon [n’ait] toujours pas adopté de politique d’immigration globale. »
Car le traitement de l’immigration n’est plus pour ces fidèles serviteurs de la pensée unique une compétence d’état, mais devient une obligation de fait. Ouvrir largement ses frontières pour permettre le libre accès de tous partout est le credo de ces femmes et hommes qui œuvrent ouvertement à la destruction des peuples.
Heureusement, le Japon reste une nation à part, et ce malgré les pressions qui le maintiennent dans un statut diplomatique largement en-deçà de ce qui devrait être sa place.
Il y a quelques mois, c’est l’Italie qui avait fait les frais des remontrances onusiennes en matière d’immigration.
Ces exemples d’insupportable ingérence démontrent largement qu’il est très délicat pour un peuple isolé d’aller à l’encontre de la volonté de multiplication des migrations par le nouvel ordre mondial, avec en ligne de mire le métissage généralisé et la disparition des peuples. Et qu’à une menace globale doit être apportée une réponse globale.
Si, pour notre plus grand bien, la France devait demain décider enfin d’inverser les flux migratoires et de lutter efficacement contre l’immigration et tous ses corollaires (islamisation, paupérisation, délinquance, etc.) elle ne pourrait le faire qu’avec l’appui du reste du continent. D’où la nécessité absolue pour nous de développer sans cesse les contacts avec les autres forces de droite nationale et identitaire en Europe.

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