Et rien n’a changé.
Le quartier de l’Alma, à Roubaix, est toujours invivable. Et ce malgré les promesses du président.
Dimanche soir, plusieurs véhicules et conteneurs sont incendiés. Mais ce n’est là qu’un leurre, car les vraies cibles de ces feux nocturnes sont les pompiers, accueillis avec divers projectiles. Ils s’en sortiront sans dommage. Les policiers venus à leur aide seront eux-aussi pris à parti. Après le déploiement des renforts, c’est un vrai arsenal que découvriront les forces de l’ordre. Pierres, dalles de béton et autres joyeusetés ont été préparées en vue de tendre des guets-apens. D’ailleurs ce n’est pas nouveau, puisque début mars le même scénario s’était déroulé dans le quartier. Mais ce soir là, pompiers et policiers avaient décidé de ne pas intervenir car il n’y avait pas de risque de propagation de l’incendie.
Dans la nuit de lundi, de nouveaux feux sont allumés. C’est une patrouille de police qui fera les frais du caillassage, heureusement sans dommage.
Mardi soir, une rixe entre une vingtaine d’individus dégénère faisant un blessé. Certains d’entre eux, pour on ne sait quel motif, tentent d’incendier une maison à l’aide d’une bombonne de gaz.
Il y a fort à parier que le karcher ne suffira plus pour éteindre ces incendies multiples, et qu’il est temps de se poser les vraies questions sur les causes réelles qui font de nos quartiers des zones de non-droit et de guerre civile.
Mais non, les politiques français préfèrent ergoter sur la prétendue responsabilité du policier qui aurait mis en ligne la vidéo de ce qu’est la réalité d’une agression dans un bus, qui aurait permis à nos concitoyens de toucher du doigt ce qu’est la violence gratuite, la haine même que portent en elles les "bandes".
Nos policiers sont excédés, usés, abandonnés, et pourtant ils gardent une maîtrise remarquable. Soutenons-les.
Le quartier de l’Alma, à Roubaix, est toujours invivable. Et ce malgré les promesses du président.
Dimanche soir, plusieurs véhicules et conteneurs sont incendiés. Mais ce n’est là qu’un leurre, car les vraies cibles de ces feux nocturnes sont les pompiers, accueillis avec divers projectiles. Ils s’en sortiront sans dommage. Les policiers venus à leur aide seront eux-aussi pris à parti. Après le déploiement des renforts, c’est un vrai arsenal que découvriront les forces de l’ordre. Pierres, dalles de béton et autres joyeusetés ont été préparées en vue de tendre des guets-apens. D’ailleurs ce n’est pas nouveau, puisque début mars le même scénario s’était déroulé dans le quartier. Mais ce soir là, pompiers et policiers avaient décidé de ne pas intervenir car il n’y avait pas de risque de propagation de l’incendie.
Dans la nuit de lundi, de nouveaux feux sont allumés. C’est une patrouille de police qui fera les frais du caillassage, heureusement sans dommage.
Mardi soir, une rixe entre une vingtaine d’individus dégénère faisant un blessé. Certains d’entre eux, pour on ne sait quel motif, tentent d’incendier une maison à l’aide d’une bombonne de gaz.
Il y a fort à parier que le karcher ne suffira plus pour éteindre ces incendies multiples, et qu’il est temps de se poser les vraies questions sur les causes réelles qui font de nos quartiers des zones de non-droit et de guerre civile.
Mais non, les politiques français préfèrent ergoter sur la prétendue responsabilité du policier qui aurait mis en ligne la vidéo de ce qu’est la réalité d’une agression dans un bus, qui aurait permis à nos concitoyens de toucher du doigt ce qu’est la violence gratuite, la haine même que portent en elles les "bandes".
Nos policiers sont excédés, usés, abandonnés, et pourtant ils gardent une maîtrise remarquable. Soutenons-les.
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