mardi 10 novembre 2009

Le grand bluff

Nadia Lamarkbi, journaliste au « courrier de l’atlas » (qui se définit lui-même comme le magazine de la communauté maghrébine de France) organisera le 1er mars prochain la journée sans immigrés : 24 heures sans nous.
Le but de cette action, qui fait suite aux propos de M. Brice Hortefeux cet été, est de démontrer aux Français la richesse de l’immigration en demandant aux immigrés et fils d’immigrés de ne pas travailler ni consommer ce jour là. Elle invite qui plus est les « citoyens conscients de l’apport de l’immigration » à rejoindre le mouvement.
Propagande
La promotion de la journée sans immigrés se fait principalement par médias électroniques (site Yabiladi de Mohamed Ezzouak, site et blog LJSI…), réseaux sociaux (groupes sur Facebook) et médias traditionnels (El Watan, principal journal francophone d’Algérie, Radio Soleil…)

Qu’en est-il de l’apport de l’immigration
Tout d’abord, et contrairement à ce que veut faire croire la journaliste, l’immigration aujourd’hui en Europe n’est plus une immigration de travail, mais une immigration de peuplement. De plus, le chômage qui touche plus les immigrés que les Français de souche, est en constante augmentation. Cela démontre bien l’inutilité d’une main d’œuvre venue de loin.
Ensuite, l’immigration coûte à la France entre 26 et 45 milliards d’euros par an selon les estimations, et encore sans comptabiliser les surcoûts liés à la délinquance.
Enfin, une partie de l’argent généré par le travail ou les aides sociales quitte le territoire en direction des pays d’origines. D’ailleurs une publicité sur trois du « courrier de l’atlas » porte sur les moyens d’envoyer des devises au pays.

Et si l’action est suivie ?
Alors cela confirmera que les 40 dernières années de politique immigrationniste ont été encore plus criminelles que prévue, et que désormais une partie non négligeable de la population, peu ou pas assimilée, a le pouvoir de paralyser notre économie et nos productions.
Mais notre peuple aurait les moyens d’y remédier, pourvu qu’il n’y ait pas trop de collabos qui faussent la portée de la mobilisation et qu’on lui en laisse le temps.

En conclusion
Si au moins les délinquants et criminels immigrés ou d’origines immigrées suivent le mot d’ordre et cessent toute activité 24 heures, les Français pourront souffler un peu. Mais pour en profiter vraiment, il faudrait prolonger le mouvement, disons, au moins 20 ans !

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