vendredi 20 novembre 2009

New-York est restée calme

New-York, principale destination de la diaspora irlandaise et ville où l’on recense le plus d’habitants se revendiquant Irlandais (plus qu’à Belfast ou Dublin) n’a connu aucun débordement mercredi. Il n’y a pas eu une seule voiture brulée par un celte revanchard, pas un magasin pillé par un rouquin hystérique, pas un passant tabassé par un O’Sullivan ou un O’Toole.
Et pourtant, si il y a eu des supporters de football lésés mercredi, ce sont bien eux ! Leur courageuse équipe maîtrise le terrain, mais est vaincu par une basse tricherie. Tricherie largement légitimée ou minimisée au passage par l’élite sportive et politique Française. Par ceux qui nous enseignent que le sport est le miroir de la société. Par ceux qui transforment quelques habiles footballeurs (ou volleyeur pour l’occasion) en demi-dieux vivants.
D’ailleurs ces derniers le savent bien, et en profitent. A l’image d’un Lilian Thuram qui fait la tournée des écoles pour expliquer à nos enfants que les races n’existent pas. Mais bon, il est footballeur, pas biologiste.
Les Irlandais donc, puisqu’il s’agit d’eux, sont restés très calmes et corrects, tant en Irlande qu’à Paris ou New-York.
Comment expliquer alors le comportement de certains algériens ou franco-algériens dans notre pays en général et dans le Nord en particulier ? Lorsque l’équipe nationale d’Algérie perd, ils sont en colère et pillent nos rues ; lorsqu’elle gagne, ils sont heureux et pillent nos rues. D’aucuns avancent de soi-disant malaises sociaux, sentiments de rejet et j’en passe.
Je crois pour ma part qu’il existe une profonde incompatibilité entre les peuples Européens et certains peuples extra-européens. Alors il faut se rendre à l’évidence, rien ne sert de continuer à dépenser de folles sommes d’argent public pour intégrer de force une population qui ne le veut ni ne le peut.
Ah, au fait, je suggère à M.Hortefeux de présenter la facture de mercredi à la FAF (Fédération Algérienne de Football)

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